Le 01/09/2017
Face à la menace terroriste, la ville avait annulé l’édition de l’année 2016. Un an après, la nouvelle braderie a été entièrement repensée, pour notre plus grand bonheur !
On souhaite un bon week-end à tous les bradeux !
La braderie de Lille, une institution qui attire chaque premier week-end de septembre près de 2 millions de personnes, ouvrira bien samedi 2 septembre, officiellement à 8 heures. Les habitués, eux, se préparent à chiner aux culs des camions dès vendredi soir. Les fidèles sont dans les starting-blocks : en 2016, les menaces terroristes avaient eu raison du plus grand marché aux puces d’Europe.
Un an après, les risques d’attaque sont toujours là mais la ville de Lille et la préfecture ont repensé entièrement cette nouvelle braderie. « En 2016, c’était incontrôlé : il était impossible de sécuriser la foule », confie Didier Perroudon, le directeur départemental de la sécurité publique. Pour le cru 2017, plus de 3 000 policiers, gendarmes, douaniers et militaires seront présents (autour de 2 000 les éditions précédentes). Les attaques à Nice, Berlin ou Barcelone ont obligé le préfet et la maire de Lille à travailler autour de deux axes : empêcher une attaque à la voiture-bélier et canaliser les mouvements de foule. Pour cela, le périmètre a été réduit aux quartiers du centre et du Vieux-Lille, où seuls les commerçants lillois et les riverains ont obtenu des autorisations pour brader.
En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/societe/article/2017/09/01/une-braderie-de-lille-ultrasecurisee_5179519_3224.html#1wE6rUDCmilOrUwy.99
Le 25/08/2017
Vous voulez une bonne nouvelle ? Histoire de penser à autre chose qu'à ceux qui sont en vacances à votre place, à celles qui embrassent une nouvelle vie de Maman, à ces retards d'obtention de prêts, ...
Les banques n’ont pas augmenté leur taux de crédit immobilier !
De quoi réjouir les tout prochains acquéreurs.
http://immobilier.lefigaro.fr/article/credit-immobilier-calme-estival-sur-les-taux-d-emprunt_05fdf6d0-784c-11e7-8e50-f0637644bdb6/
Le 12/01/2016
Début 2015, 35 % des professionnels de l’immobilier se disaient optimistes. Un an plus tard, ce chiffre est passé à 67 %.
Bruno Deletré: « Les taux d’intérêts historiquement bas ont un effet positif sur le pouvoir d’achat »
http://videos.lesechos.fr/4689170067001
Les Echos.fr LE 07/01/2016 À 10:42
Le 21/12/2015
La tendance n'est pas à la baisse des prix dans l'hexagone. En tout cas pour l'immobilier ancien , pointe le bilan 2015 des notaires de France, publié ce mardi.
« De 2005 à 2015, six villes françaises de plus de 150.000 habitants ont vu les prix de leurs appartements anciens grimper d’au moins 20% », pointe Thierry Thomas, président de l’Institut notarial de droit immobilier. Il s’agit de Bordeaux (57%), Lyon (+42%), Lille (+36%), Nice (+31%), Strasbourg (+29%) et Toulouse (+22%).
A l’inverse, les prix ont baissé de 2005 à 2015 dans deux villes : St Etienne (-6%) et Toulon (-2%), tandis qu’ils restaient à peu près stables dans trois autres - Grenoble, Angers et Reims -, sur la période.
Les maisons anciennes aussi coûtent plus cher qu'il y a dix ans. Leurs prix ont augmenté de 20 à 30% à Lyon, Nice, Nantes, Marseille, Bordeaux et Lille.
( L'intégralité des chiffres publiés par les notaires de France sont à consulter ici ).
Le marché reste en tout cas dynamique. Sur les 12 mois écoulés à fin septembre, 753.000 transactions ont été enregistrées par les notaires , soit un volume en hausse de +4%. Ce niveau de ventes se rapproche de ceux atteints lors de la période de forte activité (1999-2007) du marché immobilier ancien, mais il est encore en retrait de 6,2%.
« En province, nous avons observé une reprise des volumes de ventes à partir du mois de juin, alors qu’à Paris c’était dès mars-avril », a relevé Me Thomas. « Et il n’y a pas eu de tassement à l’automne, ce qui nous fait tabler sur une hausse de 5 à 6% des transactions sur l’année 2015 », a-t-il complété.
Quant aux prix, ils demeurent en légère baisse, sur les 12 mois écoulés à fin septembre : -1,7% en France, -1,3% en Ile-de-France, -2,1% en province. Si de juillet à septembre 2015 les prix ont légèrement progressé (+0,5% en France, +1% en Ile-de-France,+0,4% en province) cette hausse est en partie « mécanique » car les stocks de biens à vendre baissent, tant dans les agences immobilières que chez les notaires, précisent ces derniers. « Mais il ne faut surtout pas penser que les prix vont flamber dans les mois à venir, cela n’est pas du tout notre analyse », a conclu Me Thomas.
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